Cécile a une petite princesse qui a été le moteur de So vrac. En effet, après la toute première marche pour le climat le 2 décembre 2018 qu’elles font en famille, elle réalise la nécessité d’agir. Cécile fait alors la promesse à Louise de tout mettre en œuvre pour protéger la planète. Et réduire nos déchets, en particulier le plastique, est un premier pas. Quelques mois plus tard, So vrac, So good ! voit le jour.
Ton premier pas pour la planète, c’était quoi ?
La nature a toujours été un élément essentiel, je dirais même vital dans ma vie. Les choses se sont faites de manière, je dirais, naturelle : on a lancé un compost en arrivant à la maison, puis un potager a rapidement suivi, puis des poules. Sortir quelques minutes dans mon jardin a un effet ressourçant de fou, et regarder les magnifiques coucher de soleil de notre région m’émerveille toujours.
Comment es-tu tombée dans le vrac ?
En ouvrant nos poubelles, quelque chose me dérangeait. Puis en 2018, j’ai commencé à étudier les statistiques sur les déchets, à suivre l’impact que cela pouvait avoir sur la planète, à me renseigner sur notre empreinte. Cela m’a fait l’effet d’une bombe. Réduire nos déchets me semblait être la suite logique (après le compost, le potager, les poules) ; on a donc ouvert la poubelle et on s’est attaquée à ce qui l’occupait le plus : les emballages en plastique des pâtes, de la charcuterie, fromages, etc.
Si tu étais un produit zéro déchet, tu serais quoi ? Pourquoi?
Impossible de choisir un produit. Je les serais tous, je serais un magasin zéro déchet ?!?
Ta devise, c’est quoi ?
« Mieux vaut une million de vraqueurs imparfaits qu’une poignée de vraqueurs parfaits ».
Autre chose sur toi ?
J’ai conscience d’avoir la chance extraordinaire d’être chaque jour en contact ou de rencontrer de magnifiques personnes : que ce soit les clients, nos collaborateurs, nos partenaires, nos fournisseurs, chaque rencontre me nourrit et me fait grandir !